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La découverte semble n’impliquer que du positif : C’est grâce à la chimie que l’on obtient les cellules souches si précieuses aux malades, mais également utile à la recherche pour mieux comprendre le mécanisme et le métabolisme de la cellule humaine. Ainsi, des problèmes éthiques sont contournés, tels que l’obligation de passer par le prélèvement sur des patient pour obtenir des cellules souche (sur le sang placentaire du bébé-médicament, prélèvement sur la moelle épinière, les 90 cellules fœtales qui sont prélevées à l’issue d’interruption volontaire de grossesse (IVG) etc…), et des barrières juridiques tombent. Par exemple la loi de bioéthique française de 1994 et rééditée en 2004 imposait un temps de réflexions quant à l’utilisation des cellules souches, à cause de leur provenance soit embryonnaire, soit fœtale.



Dans le même temps, rappelons que les cellules souches ne sont pas non plus des embryons potentiels, en réalité la découverte ne concerne qu’une application en médecine précise et cadrée. Il s’agit d’une avancées primaire en génétique qui ne prête pas à débat mais fait consensus au sein de la communauté scientifique, comme on a peu l’habitude d’en voir de nos jours, à cause du clonage humain, des bébés médicament, de la PMA pour les couples homosexuels etc… Elle concilie éthique et progrès.
 

La technique permet, moyennant coût honnête, des traitements adaptés en matière de thérapie génique, suppression des anomalies germinales à l’échelle de la cellule-œuf, soin des tissus atteints de mutations somatiques etc...


« Paradoxalement les sénateurs français s’apprêtent, le 15 octobre prochain,  à débattre d’une proposition de loi visant à favoriser la recherche sur l’embryon plus que problématique d’un point de vue éthique et scientifique. »


Explique le journal du site de l’alliance Vita début 2013. La proposition a été adoptée depuis, en pleine nuit au Sénat sans consulter l’opinion, alors que la technique de Gurdon est éthique.

































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Shinya Yamanaka

John Gurdon

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